Voici le commencement de mon histoire…

Je la partage avec vous dans l’espoir de vous inspirer, de vous montrer que tout est possible lorsque nous nous engageons envers nous, lorsque nous faisons le choix d’être nous-mêmes. Tout a débuté par l’intuition forte de ma mère.

Voici le commencement de mon histoire…

Je la partage avec vous dans l’espoir de vous inspirer, de vous montrer que tout est possible lorsque nous nous engageons envers nous, lorsque nous faisons le choix d’être nous-mêmes. Tout a débuté par l’intuition forte de ma mère.

Papa Pascale

Pendant la grossesse, pas de problèmes majeurs, juste des nausées et un gonflement excessif. Vous avez deviné… maman était très enceinte, son ventre était immense, elle peinait à se lever seule du lit le matin. Papa devait absolument l’aider avant de partir travailler, sinon, elle aurait passé la journée au lit. Elle était même trop enflée pour s’asseoir dans une banquette de restaurant. Imaginez !!!! Pourtant à ma naissance, j’étais toute menue.

Pendant la grossesse, pas de problèmes majeurs, juste des nausées et un gonflement excessif. Vous avez deviné… maman était très enceinte, son ventre était immense, elle peinait à se lever seule du lit le matin. Papa devait absolument l’aider avant de partir travailler, sinon, elle aurait passé la journée au lit. Elle était même trop enflée pour s’asseoir dans une banquette de restaurant. Imaginez !!!! Pourtant à ma naissance, j’étais toute menue..

Pendant la grossesse, pas de problèmes majeurs, juste des nausées et un gonflement excessif. Vous avez deviné… maman était très enceinte, son ventre était immense, elle peinait à se lever seule du lit le matin. Papa devait absolument l’aider avant de partir travailler, sinon, elle aurait passé la journée au lit. Elle était même trop enflée pour s’asseoir dans une banquette de restaurant. Imaginez !!!! Pourtant à ma naissance, j’étais toute menue.

Accouchement provoqué

Accouchement provoqué

Tente à oxygène

Comme je vous l’ai mentionné, ma mère avait un pressentiment quant à la santé de son enfant. Les médecins avaient également leurs doutes, qu’ils ont pris au sérieux grâce aux préoccupations de ma mère. Ils ont donc décidé de provoquer l’accouchement le 12 décembre 1973, deux semaines avant la date prévue. Pendant l’accouchement, j’étais trop faible pour sortir seule, et les médecins ont dû m’aider. À ma naissance mes premiers instants de vie ont été difficiles: je suis arrivée au monde avec une malformation congénitale. J’ai passé une grande partie de mon enfance à lutter contre la maladie, nécessitant de fréquentes hospitalisations. C’est lorsqu’ils m’ont fait boire la première fois que les médecins ont découvert ma malformation congénitale. Mon oesophage et ma trachée étaient mal placés : mon oesophage était connecté à mon poumon droit et ma trachée était déviée. J’ai été opérée à deux jours de vie et j’ai fait 2 arrêts cardiaques pendant la chirurgie. Après cette opération réussie, ma vie a été marquée par de nombreux défis, notamment respiratoires. J’ai passé une grande partie de mon enfance dans une tente d’oxygène à l’hôpital, où j’étais confinée à un lit de bébé, entourée d’une brume d’humidité.

Comme je vous l’ai mentionné, ma mère avait un pressentiment quant à la santé de son enfant. Les médecins avaient également leurs doutes, qu’ils ont pris au sérieux grâce aux préoccupations de ma mère. Ils ont donc décidé de provoquer l’accouchement le 12 décembre 1973, deux semaines avant la date prévue. Pendant l’accouchement, j’étais trop faible pour sortir seule, et les médecins ont dû m’aider. À ma naissance mes premiers instants de vie ont été difficiles: je suis arrivée au monde avec une malformation congénitale. J’ai passé une grande partie de mon enfance à lutter contre la maladie, nécessitant de fréquentes hospitalisations. C’est lorsqu’ils m’ont fait boire la première fois que les médecins ont découvert ma malformation congénitale. Mon oesophage et ma trachée étaient mal placés : mon oesophage était connecté à mon poumon droit et ma trachée était déviée. J’ai été opérée à deux jours de vie et j’ai fait 2 arrêts cardiaques pendant la chirurgie. Après cette opération réussie, ma vie a été marquée par de nombreux défis, notamment respiratoires. J’ai passé une grande partie de mon enfance dans une tente d’oxygène à l’hôpital, où j’étais confinée à un lit de bébé, entourée d’une brume d’humidité.

Aussi fin qu’une bille de stylo

Cependant, ma difficulté à respirer avec un seul poumon fonctionnel n’était pas ma seule complication. Je n’ai jamais fait les choses à moitié ! Si je devais être malade, autant l’être complètement. Mon oesophage posait également problème. Il était si étroit… aussi fin qu’une bille de stylo. Imaginez. aucun aliment solide ne pouvait passer. Tout ce que je pouvais avaler était liquide, et en très petite quantité. Même la purée était impossible à ingérer. Me nourrir était un exploit en soi.

Aussi fin qu’une bille de stylo

Cependant, ma difficulté à respirer avec un seul poumon fonctionnel n’était pas ma seule complication. Je n’ai jamais fait les choses à moitié ! Si je devais être malade, autant l’être complètement. Mon oesophage posait également problème. Il était si étroit… aussi fin qu’une bille de stylo. Imaginez. aucun aliment solide ne pouvait passer. Tout ce que je pouvais avaler était liquide, et en très petite quantité. Même la purée était impossible à ingérer. Me nourrir était un exploit en soi.

De ces épreuves de vie, nous grandissons pour devenir des êtres humains uniques, avec nos faiblesses, nos peurs, mais aussi nos qualités, nos forces et nos valeurs. Nous avons tous des diamants en nous, prêts à briller. C’est à nous de décider quoi faire de nos histoires : en faire des poids à traîner ou des joyaux à faire rayonner !

De ces épreuves de vie, nous grandissons pour devenir des êtres humains uniques, avec nos faiblesses, nos peurs, mais aussi nos qualités, nos forces et nos valeurs. Nous avons tous des diamants en nous, prêts à briller. C’est à nous de décider quoi faire de nos histoires : en faire des poids à traîner ou des joyaux à faire rayonner !

Pendant longtemps, j’ai considéré certains de mes diamants comme de simples roches. Mais j’ai réalisé qu’ils n’attendaient qu’à être polis pour briller. Après avoir passé du temps confinée dans ma tente d’oxygène, isolée du monde extérieur, il n’est pas étonnant que je sois devenue plus introvertie, plus timide. C’était un obstacle que je traînais. Mais aujourd’hui, je valorise cette caractéristique en moi. J’ai transformé ma roche en un magnifique diamant. Et mon manque de connaissances, mon retard d’apprentissage causé par mon passé difficile, ma condition de vie… ces obstacles étaient autrefois des roches, mais maintenant je les vois comme des diamants. Ils ont éveillé ma curiosité, suscité mon intérêt.

Pendant longtemps, j’ai considéré certains de mes diamants comme de simples roches. Mais j’ai réalisé qu’ils n’attendaient qu’à être polis pour briller. Après avoir passé du temps confinée dans ma tente d’oxygène, isolée du monde extérieur, il n’est pas étonnant que je sois devenue plus introvertie, plus timide. C’était un obstacle que je traînais. Mais aujourd’hui, je valorise cette caractéristique en moi. J’ai transformé ma roche en un magnifique diamant. Et mon manque de connaissances, mon retard d’apprentissage causé par mon passé difficile, ma condition de vie… ces obstacles étaient autrefois des roches, mais maintenant je les vois comme des diamants. Ils ont éveillé ma curiosité, suscité mon intérêt.

Pascale Turcotte
Pascale Turcotte soeur

Le regard que nous portons sur les situations, sur nous–même, peut changer fondamentalement notre expérience. Quel regard portez-vous sur vos propres défis ? Quels sont vos diamants à vous ?

Les médecins ont prédit beaucoup de choses à mon sujet :

  • À ma naissance : Elle ne sortira pas de l’hôpital de sitôt. Pourtant, j’ai rendu visite à ma famille seulement deux semaines après mon opération.
  • Elle ne vivra pas longtemps. Et pourant, je suis toujours là.
  • Elle aura un retard intellectuel. Pourtant, je me considère assez intelligente maintenant, même si ma soeur essaierait de vous faire croire le contraire.
  • Elle ne mangera jamais normalement. Aujourd’hui, je mange comme tout le monde.
  • Elle aura toujours des difficultés respiratoires. Mais plus maintenant. Je m’entraîne cinq fois par semaine et je suis le rythme de mon groupe, même lors des séances cardio.
  • Elle sera différente. Et bien, sur ce point, je dis oui, je suis différente, et j’en suis fière.

Le regard que nous portons sur les situations, sur nous–même, peut changer fondamentalement notre expérience. Quel regard portez-vous sur vos propres défis ? Quels sont vos diamants à vous ?

Les médecins ont prédit beaucoup de choses à mon sujet :

  • À ma naissance : Elle ne sortira pas de l’hôpital de sitôt. Pourtant, j’ai rendu visite à ma famille seulement deux semaines après mon opération.
  • Elle ne vivra pas longtemps. Et pourant, je suis toujours là.
  • Elle aura un retard intellectuel. Pourtant, je me considère assez intelligente maintenant, même si ma soeur essaierait de vous faire croire le contraire.
  • Elle ne mangera jamais normalement. Aujourd’hui, je mange comme tout le monde.
  • Elle aura toujours des difficultés respiratoires. Mais plus maintenant. Je m’entraîne cinq fois par semaine et je suis le rythme de mon groupe, même lors des séances cardio.
  • Elle sera différente. Et bien, sur ce point, je dis oui, je suis différente, et j’en suis fière.

Mon monde imaginaire

Sans lui, je ne sais pas comment j’aurais réussi à rester aussi épanouie. Je me suis projetée, j’ai eu du plaisir à inventer une multitude d’amis avec qui je bavardais, jouais, et me difiais… Oui, je sais, m’entêter avec des amis imaginaires, vous devez penser que je suis un peu étrange, et je confirme, je suis aussi un peu têtue.

Les années passées à l’école ont été les plus difficiles de ma vie, vraiment. Je me sentais constamment exclue, considérée comme la petite faible, la petite malade. J’étais la Niagara des larmes. À l’école je n’avais pas d’amis. Ils ne me parlaient pas, ne jouaient pas avec moi, ou refusaient de faire équipe avec moi. Je me sentais rejetée, toujours absente de l’école à cause de ma santé. Au fond de moi, j’attendais avec impatience le froid, car je savais qu’en hiver, je retournerais à l’hôpital, en sécurité avec mes amis imaginaires dans ma tente d’oxygène.

Mon monde imaginaire

Sans lui, je ne sais pas comment j’aurais réussi à rester aussi épanouie. Je me suis projetée, j’ai eu du plaisir à inventer une multitude d’amis avec qui je bavardais, jouais, et me difiais… Oui, je sais, m’entêter avec des amis imaginaires, vous devez penser que je suis un peu étrange, et je confirme, je suis aussi un peu têtue.

Les années passées à l’école ont été les plus difficiles de ma vie, vraiment. Je me sentais constamment exclue, considérée comme la petite faible, la petite malade. J’étais la Niagara des larmes. À l’école je n’avais pas d’amis. Ils ne me parlaient pas, ne jouaient pas avec moi, ou refusaient de faire équipe avec moi. Je me sentais rejetée, toujours absente de l’école à cause de ma santé. Au fond de moi, j’attendais avec impatience le froid, car je savais qu’en hiver, je retournerais à l’hôpital, en sécurité avec mes amis imaginaires dans ma tente d’oxygène.

Puis après plusieurs années où la maladie était beaucoup mieux contrôlée, à 29 ans, un cancer est apparu… À cette époque, je n’étais plus heureuse dans aucune sphère de ma vie, mais je continuais car je réussissais bien, j’étais reconnue, je gagnais bien ma vie… Lorsque j’ai abordé l’idée de changer de travail, tout le monde m’a découragée.

J’ai pris les choses en main, je me suis choisie et, j’ai dit, ça suffit !!! Je ne veux plus de cette vie-là, de cette personne que je suis devenue. Je voulais vivre ma vie, me retrouver… Retrouver la petite Pascale heureuse, enjouée, autonome, fonceuse, débrouillarde que j’étais avant de décider de me fondre dans le moule de la société.

À partir de ce moment-là, j’ai pris la décision ferme de dire : “Ça suffit, prends tes responsabilités, prends le contrôle de ta vie et de ce que tu veux vivre”. J’ai eu recours à l’aide professionnelle et j’ai commencé à travailler sur moi-même. J’ai repris mes études jusqu,à obtenir mon certificat en coaching. Aujourd’hui, je gagne très bien ma vie et, surtout, je suis comblée de bonheur. Je sais maintenant que je suis à ma place. Je suis vraiment fière de tout ce que j’ai accompli.

Puis après plusieurs années où la maladie était beaucoup mieux contrôlée, à 29 ans, un cancer est apparu… À cette époque, je n’étais plus heureuse dans aucune sphère de ma vie, mais je continuais car je réussissais bien, j’étais reconnue, je gagnais bien ma vie… Lorsque j’ai abordé l’idée de changer de travail, tout le monde m’a découragée.

J’ai pris les choses en main, je me suis choisie et, j’ai dit, ça suffit !!! Je ne veux plus de cette vie-là, de cette personne que je suis devenue. Je voulais vivre ma vie, me retrouver… Retrouver la petite Pascale heureuse, enjouée, autonome, fonceuse, débrouillarde que j’étais avant de décider de me fondre dans le moule de la société.

À partir de ce moment-là, j’ai pris la décision ferme de dire : “Ça suffit, prends tes responsabilités, prends le contrôle de ta vie et de ce que tu veux vivre”. J’ai eu recours à l’aide professionnelle et j’ai commencé à travailler sur moi-même. J’ai repris mes études jusqu,à obtenir mon certificat en coaching. Aujourd’hui, je gagne très bien ma vie et, surtout, je suis comblée de bonheur. Je sais maintenant que je suis à ma place. Je suis vraiment fière de tout ce que j’ai accompli.

Pascale Turcotte croissance personnelle
Pascale Turcotte conférencière

Depuis ma naissance, dès le premier jour, dès la première minute, j’ai dû lutter pour vivre. J’aurais pu disparaître, mais non, je suis toujours là. Je n’ai aucun regret et je ne changerais rien à mon parcours, même les moments les plus difficiles. Car grâce à eux, grâce à cette expérience de vie, je suis devenue la personne que je suis aujourd’hui, et j’en suis extrêmement fière.

Depuis très longtemps, sans même m’en rendre compte, je suis donc ma propre étoile. Elle m’aide à avancer, à respirer, à vivre. Elle me permet d’être tout simplement moi-même et surtout, d’accepter qui je suis.

Maintenant, ma mission continue. Je m’efforce de suivre cette étoile et je souhaite la partager avec d’autres sur mon chemin.

Je le dis sincèrement, profondément, je désire que ce blog éclaire les étoiles de ceux qui se trouvent dans l’obscurité de leur yeux, de leur vie, de leur coeur, chacun de vous qui me lisez.

Rappelez-vous : “AUCUNE ÉTOILE NE PEUT BRILLER SANS NOIRCEUR !”

Qui aurait misé sur moi????

J’ai même créé un programme d’accompagnement sur 6 mois pour aider les gens à trouver leur propre étoile, nommé “Liberté, le passeport bonheur“. Ce programme fonctionne à merveille, et j’ai reçu tellement de beaux témoignages.

Qui l’aurait cru ??????

 

Pascale

Depuis ma naissance, dès le premier jour, dès la première minute, j’ai dû lutter pour vivre. J’aurais pu disparaître, mais non, je suis toujours là. Je n’ai aucun regret et je ne changerais rien à mon parcours, même les moments les plus difficiles. Car grâce à eux, grâce à cette expérience de vie, je suis devenue la personne que je suis aujourd’hui, et j’en suis extrêmement fière.

Depuis très longtemps, sans même m’en rendre compte, je suis donc ma propre étoile. Elle m’aide à avancer, à respirer, à vivre. Elle me permet d’être tout simplement moi-même et surtout, d’accepter qui je suis.

Maintenant, ma mission continue. Je m’efforce de suivre cette étoile et je souhaite la partager avec d’autres sur mon chemin.

Je le dis sincèrement, profondément, je désire que ce blog éclaire les étoiles de ceux qui se trouvent dans l’obscurité de leur yeux, de leur vie, de leur coeur, chacun de vous qui me lisez.

Rappelez-vous : “AUCUNE ÉTOILE NE PEUT BRILLER SANS NOIRCEUR !”

Qui aurait misé sur moi????

J’ai même créé un programme d’accompagnement sur 6 mois pour aider les gens à trouver leur propre étoile, nommé “Liberté, le passeport bonheur“. Ce programme fonctionne à merveille, et j’ai reçu tellement de beaux témoignages.

Qui l’aurait cru ??????

 

Pascale

Appel découverte

Appel découverte

Appel découverte

Je suis prêt pour mon Appel découverte !